Suite aux interrogations du Télegramme sur mes trois priorités en cas d'élection au conseil général, voici mes réponses.
-Une ligne de train (ou de tram) entre Douarnenez et Quimper, car nous savons que le prix de l’essence augmentera sans limite dans les années à venir. Nous savons que la voiture pollue, qu’elle blesse ou tue parfois (49 tué-e-s en 2008 dans le Finistère). La mise en service d’un rail assurerait la sécurité des voyageurs, désenclaverait Douarnenez et pourrait desservir Le Juch, Plogonnec et Guengat ce qui permettraient à ces communes de se développer, d’attirer des entreprises et de l’emploi.
-Distribution du bio dans les restaurants scolaires, hospitaliers, des maisons de retraites et des entreprises. Le Conseil Général se doit de soutenir une agriculture respectueuse des hommes et de l’environnement en privilégiant les filières locales, donc l’emploi dans notre pays. L’avenir de notre terre, de notre eau et de nos enfants en dépend.
-Filière bilingue breton français de la crèche à l’université. Quand 88 % des Breton-ne-s déclarent qu’il faut conserver la langue bretonne, les élus se doivent d’ouvrir des classes bilingues partout où la demande existe. Il faut dans le Finistère, au moins, un collège bilingue par canton pour répondre aux besoins.
Bloavezh mat d’an holl !
Arno Vannier
-Une ligne de train (ou de tram) entre Douarnenez et Quimper, car nous savons que le prix de l’essence augmentera sans limite dans les années à venir. Nous savons que la voiture pollue, qu’elle blesse ou tue parfois (49 tué-e-s en 2008 dans le Finistère). La mise en service d’un rail assurerait la sécurité des voyageurs, désenclaverait Douarnenez et pourrait desservir Le Juch, Plogonnec et Guengat ce qui permettraient à ces communes de se développer, d’attirer des entreprises et de l’emploi.
-Distribution du bio dans les restaurants scolaires, hospitaliers, des maisons de retraites et des entreprises. Le Conseil Général se doit de soutenir une agriculture respectueuse des hommes et de l’environnement en privilégiant les filières locales, donc l’emploi dans notre pays. L’avenir de notre terre, de notre eau et de nos enfants en dépend.
-Filière bilingue breton français de la crèche à l’université. Quand 88 % des Breton-ne-s déclarent qu’il faut conserver la langue bretonne, les élus se doivent d’ouvrir des classes bilingues partout où la demande existe. Il faut dans le Finistère, au moins, un collège bilingue par canton pour répondre aux besoins.
Bloavezh mat d’an holl !
Arno Vannier